Le Quickie

Le dos de Samson heurta le mur avec un bruit sourd. Le bord aiguisé de la brique apparente déchira sa chemise.

Amelia claqua la porte d’entrée et se jeta sur son torse, arrachant le reste de ses boutons et révélant les pectoraux de Samson.

« Oui », gémit-elle. Ses yeux se dilatèrent lorsque Samson jeta sa chemise abîmée au sol.

Sa bouche s’écrasa sur la sienne, et sa main se pose sur l’arrière de sa tête, en saisissant ses cheveux d’une main pendant que l’autre pressait fermement son cul.

Son halètement s’accéléra lorsqu’il lui tira la tête en arrière. Ses dents effleurèrent son cou tandis que sa langue la léchait de la clavicule à l’oreille.

Leurs haleines sentaient la bouteille de whisky qu’ils avaient entièrement bue ce soir. L’alcool ne fait qu’attiser leur désir.

« Comment on enlève cette robe ? » Samson rit. La robe d’Amelia était courte et épousait ses formes, elle était comme une seconde peau.

Amelia gloussa et recula d’un pas, dézippant rapidement la robe grâce à la fermeture éclair cachée sur le côté.

Samson se mordit la lèvre inférieure alors que ses yeux passaient de ses seins nus à son string rouge foncé. « Bon sang… »

L’air sembla à nouveau frémir entre eux. Amelia fut la première à bouger. Elle se précipita en avant, sa bouche s’écrasant sur les lèvres de Samson, ses mains sur son jean, le déboutonnant et le libérant en un rien de temps.

Samson gémit lorsque sa petite main s’enroula autour de son membre en érection. Elle le caressa d’un geste ferme et familier.

Il ne contrôlait plus ses mains. Elles se posaient partout. En saisissant ses seins, il frotta ses pouces sur ses tétons, encore et encore.

Des éclairs de plaisir passèrent de la pointe des tétons d’Amelia à sa chatte, poussant Amelia à caresser Samson plus fort et plus vite pendant qu’il étouffait ses gémissements.

Leurs cris résonnaient dans la maison vide. Leurs respirations lourdes et leurs halètements étaient les seules choses qu’ils pouvaient entendre par-dessus les battements de leurs cœurs.

Samson grogna de plaisir et d’agonie lorsque Amelia lâcha sa queue et s’éloigna de lui.

Amelia saisit les côtés du jean de Samson et le poussa vers le bas, ainsi que son caleçon. En une seconde, elle tomba à genoux.

La langue d’Amelia sortit et caressa langoureusement Samson depuis le bas de ses couilles jusqu’à la tête de sa queue, laissant une traînée de salive chaude et humide sur son passage.

« Putain ! » gémit Samson, les deux mains agrippées aux cheveux d’Amelia.

Samson savait qu’Amelia aimait la sensation de ses mains dans ses cheveux. La tension et le contrôle qu’elle l’autorisait à avoir sur elle lui donnaient un sentiment de puissance et la faisaient instantanément mouiller.