À sa merci

Angela

Xavier Knight n’était pas du genre à faire des promesses en l’air.

Mon mari enfonça sa queue en moi et je criai en griffant le sable. Toute pensée rationnelle passa par la fenêtre alors que j’étais remplie par lui, si incroyablement remplie. On aurait pu imaginer qu’à présent, je me serais habituée à sa taille, mais j’en avais le souffle coupé à chaque fois.

Je serrai le sable dans mes poings pendant qu’il se retirait lentement, si lentement, avant de replonger avec force. Xavier grognait, les mains sur mes hanches, pendant qu’il m’enfonçait encore et encore. Il accéléra le rythme et je m’abandonnai à cette sensation brute. Il n’y avait rien d’autre que ses mains sur mes hanches, sa queue qui m’enfonçait, et les vagues qui s’écrasaient.

« Mon Dieu, tu es si serrée », gémit Xavier en se retirant à nouveau et en se replongeant en moi. Il s’enfonçait profondément dans mon corps, et c’était une sensation incroyable.

« Oh, mon Dieu », je gémis, la tête touchant l’eau.

« Je veux te sentir jouir sur ma queue », grogna-t-il dans mon oreille. « Je veux te sentir te resserrer autour de moi et jouir sur ma putain de queue. » Je reculai contre lui, le faisant s’enfoncer plus profondément, et il jura. « Putain de merde, c’est tellement bon. »

« Xavier... » Je chantonnai son nom comme une prière, en sentant la pression monter en moi. Il attrapa une poignée de mes cheveux et les tira en arrière, en soulevant ma tête du sable alors qu’il me prenait à quatre pattes. « Je crois que je vais... Tu vas me faire... »

« Jouis pour moi », m’ordonna-t-il. « Jouis comme la gentille fille que tu es. »

Cela me fit basculer. Je criai son nom en explosant autour de lui, ma chatte se resserrant autour de lui tandis que des vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Ma peau était en feu, mon clitoris palpitait et j’étais vaguement consciente de mes ongles s’enfonçant dans le sable pendant que Xavier s’enfonçait en moi en ralentissant le rythme.

Alors que je pensais avoir une seconde pour reprendre mon souffle, Xavier me retourna, il poussa mon dos contre le sable doux. Il posa mes chevilles sur ses épaules et s’enfonça à nouveau en moi, mais cette fois-ci, c’était encore plus profond.

« Attends, Xavier ! » Il se retira à nouveau et s’enfonça en moi, atteignant tous les bons endroits, ce qui me fit crier. « Putain, je suis presque... Oh, mon dieu », je gémis, mes mots se transformant en langage incompréhensible. « Je viens de... jouir ! » Je lui mordis l’épaule très fort. Il m’enfonça plus profondément sur le sable, frappant mon point G à chacun de ses mouvements. Mon cœur allait exploser de plaisir.

« Je veux que cette chatte avale ma queue », grogna-t-il en plaquant l’une de mes mains sur le sable. « Je veux que tu me serres fort, et je veux te sentir jouir sur moi, encore et encore. »

Je hurlai en jouissant une seconde fois, ma main libre griffait les muscles de son dos. Mais cette fois, il ne s’arrêta pas. Mes yeux se révulsèrent et je jouis si fort que j’eus l’impression d’être sur le point de m’évanouir.

« Oh mon Dieu », soufflai-je, à peine capable de respirer. « Oh mon Dieu, oh mon Dieu, oh mon Dieu ohmondieuohmondieuohmondieu ! »

« Je suis proche », grogna-t-il. Ce son brut et animal dans mon oreille me donna un énorme sentiment d’urgence.

« Oui, bébé », je gémis. « Jouis pour moi. Remplis-moi. J’ai besoin de te sentir en moi, s’il te plaît ! » Je le suppliai, en haletant et en gémissant tandis que nos corps se mêlaient dans une danse frénétique de pure passion et de désir brut.

Le bruit de l’océan s’estompa. La sensation du sable sur mon dos disparut. La chaleur du soleil fut éclipsée par la chaleur brûlante du corps de Xavier contre le mien. Un autre orgasme montait en moi, il devenait de plus en plus grand à chaque coup. Il me baisait comme un animal sauvage, chacun de ses mouvements était motivé par la passion et le désir brut.

« Je vais jouir, putain », grogna-t-il. Ses mouvements devinrent encore plus profonds. Il grogna contre mon oreille, et ce grognement profond et primitif déclencha une décharge électrique dans mon corps.

Je hurlai, la tête rejetée en arrière dans une extase pure, l’orgasme me frappant comme une onde de choc, faisant trembler mon corps. Je serrai sa queue en jouissant. Dans un rugissement de pure puissance masculine, Xavier s’enfonça profondément en moi une fois de plus et il resta là.

Sa queue palpitait, chaque pulsation de son sperme chaud se propageait en moi pendant qu’il remplissait ma chatte. Il grogna en jouissant, longuement et bruyamment, et je sentis sa semence chaude me remplir, puis s’écouler de ma chatte et dégouliner le long de mes cuisses. Ses lèvres s’écrasèrent sur les miennes pendant que sa queue continuait de palpiter en moi, et j’écartai les lèvres pour l’embrasser passionnément.

Je frémis en ressentant les derniers effets de mon orgasme dans tout mon corps. Je tremblais de plaisir, chaque centimètre de ma peau frissonnait et me brûlait alors qu’il me remplissait de son sperme.

Finalement, après ce qui me sembla être une éternité, Xavier s’écroula sur le sable et m’entoura de ses bras. La sensation de son corps contre mon dos était chaude et agréable, les vagues de plaisir déferlaient encore dans mon esprit.

Je me retournai et je le regardai dans les yeux, en admirant son apparence sous la lumière du soleil couchant. Il était à couper le souffle. Solidement musclé et bronzé par le soleil, il était l’homme parfait.

« Je retire ce que j’ai dit », murmurai-je en essuyant un peu de sable sur sa joue.

« Tu retires quoi ? » demanda-t-il d’une voix rauque.

« C’est peut-être le paradis, après tout. »

Il rit, et son sourire était plus beau que le soleil couchant, plus beau que tout ce que j’avais déjà pu voir.

« Bien sûr que c’est le paradis », déclara-t-il d’une voix tendre. Il me rapprocha et m’embrassa doucement. « J’ai un ange dans mes bras. Où pourrions-nous être d’autres ? »

Nous restâmes ainsi pendant un moment, perdus dans le bonheur et dans les bras l’un de l’autre. Le soleil se couchait à l’horizon et les étoiles commençaient à scintiller dans le ciel de la nuit.

« Et si nous rentrions nous reposer à l’intérieur ? » proposa Xavier. « Il nous reste une semaine entière à Bali. »

« Bien sûr. » J’acquiesçai. « Mais il y a un problème... »

« Hum ? »

« Tu vas devoir me porter jusqu’à la villa. » Je lui souris, les joues rouges. « Je ne pense pas pouvoir marcher correctement. »

Mon mari se remit à rire, et mon cœur se remplit de tellement de joie que j’étais sûre qu’il allait déborder. Il me souleva sans effort, me berçant dans ses bras. « Je suppose que je vais devoir te porter toute la semaine. Mais cela ne me dérange pas. »

Je posai ma tête contre son torse et je souris pendant qu’il nous envoyait au paradis.

FIN.

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