Notre Petit Secret

Tuli

Mes yeux se sont brusquement ouverts et j’ai regardé fixement les yeux marron foncé de M. Mystérieux, remplis de désir. « Co… comment tu connais mon nom ? » lui ai-je dit en chuchotant.

Ses sourcils se sont froncés. « J'ai entendu ton amie. » Il a alors souri et m'a embrassée à nouveau. « Mais ce n'est pas ça qui est important. Je veux ta permission pour que tu me laisses te prendre, tout de suite. »

Au bon moment, ses hanches se sont mises en mouvement contre moi, me faisant étouffer de plaisir.

Mon esprit s'est vidé et j'ai instantanément oublié l'histoire du nom. « Oui ! »

Il a gloussé et a déplacé sa main de ma poitrine à mon sexe, à travers le tissu en jean de mon short. « Tu es tellement sexy à voir et à entendre quand tu es excitée.

T'entendre bafouiller, voir ton visage rouge, ça me rend plus dur qu'une pierre. Mm, j’ai hâte de voir ta réaction quand je vais glisser ma bite en toi. »

Mon visage est devenu rouge, mais je l'ai vite oublié quand ses mains se sont enroulées autour de mes cuisses. Il m'a soulevée, ce qui m'a fait pousser un petit cri.

J'ai enroulé mes jambes autour de lui et j'ai tiré sur ses cheveux, en m'accrochant comme une malade.

Il a grogné à cause de la douleur et m'a portée jusqu'à la chambre la plus proche, sa bouche sur mon cou et ses mains sur mes fesses. Il m'a jetée sur le lit et a gloussé quand j'ai poussé un deuxième petit cri.

Puis il s'est mis au-dessus de moi, me plaquant contre le lit.

Ses lèvres se sont pressées contre les miennes, sa langue s'est glissée dans ma bouche. Je gémissais, ma langue se frottait contre la sienne tandis que j'enroulais mes bras autour de son cou et le tirais plus près.

Ses mains sont descendues jusqu'à ma chemise et, la saisissant fermement, ont déchiré le tissu. J'ai protesté contre sa bouche.

« Je ne vais pas sortir d'ici torse nu ! » ai-je gémi contre ses lèvres.

Il s'est reculé et m'a regardée avec un sourire amusé. « Tu n'as pas besoin de t'inquiéter pour ça maintenant. Tais-toi et laisse-moi jouer avec toi. »

J'ai rougi à ses paroles osées et je suis restée silencieuse, serrant mes jambes l’une contre l’autre pour me protéger. D'accord, comme si ça allait t'aider maintenant, a murmuré une voix dans ma tête.

Cette voix s'est évanouie lorsque j'ai remarqué que ses yeux descendaient le long de mon torse jusqu'à mes jambes resserrées.

Il a gloussé et les a saisies, les a écartées avec force et m'a coincée à nouveau avec ses hanches entre elles. « Détends-toi, ma belle. Je ne mords pas très fort », a-t-il susurré.

Ses mots ont fait monter le désir dans mon corps. J'ai pris une profonde inspiration, et me suis sentie légèrement plus détendue. C'était quand même un peu difficile, quand j’étais sur le point de perdre ma virginité avec un inconnu.

M. Mystérieux m'a souri et a entouré mon torse de ses bras pour dégrafer mon soutien-gorge. Il l'a jeté, laissant mes seins nus.

Il m'a regardée fixement, se mordant la lèvre en regardant mes tétons, durcis à cause de l'air frais. « Oh putain », a-t-il gémi, « Tu es tellement sexy juste avec ce short. Mais je vais devoir m'en séparer aussi. »

Il a souri et, en se baissant, il a commencé à déboutonner mon short tandis que sa bouche rencontrait la mienne.

Lentement et de manière provocante, sa bouche est descendue de la mienne jusqu'à mes seins, tandis que ses mains baissaient mon short et ma culotte à la même vitesse.

J'ai crié, le sentant aspirer le téton de mon sein droit dans sa bouche tandis qu'il jetait le reste de mes vêtements.

Il a caressé mon autre sein, en pressant et stimulant le mamelon entre son pouce et son index.

J'ai gémi de plaisir lorsqu'il est passé à mon autre sein, taquinant celui qu'il avait laissé avec ses doigts.

Je geignais, me frottant à ses hanches, gémissant à la sensation de son érection en denim qui frôlait mon clitoris sensible.

« S'il te plaît », l'ai-je supplié.

Il a levé les yeux vers moi, fixant les miens de façon lascive. « Tu as envie de moi maintenant ? »

J'ai rougi et j'ai hoché la tête.

« Petite demoiselle impatiente », a-t-il murmuré, et il a souri en se redressant.

Il a retiré sa chemise et l'a jetée sur le côté, révélant sa poitrine nue, à l'exception des petites boucles de poils entre ses mamelons.

Timidement, j’ai tendu la main et j'ai caressé les boucles, ce qui l'a poussé à se mordre la lèvre pendant qu'il déboutonnait son pantalon.

M. Mystérieux s'est reculé pour faire glisser son pantalon et son caleçon, me donnant un aperçu de son impressionnante érection, ainsi que des boucles de poils qui entouraient la base.

Je regardais sa bite palpitante alors que mon visage rougissait, en comptant chaque veine bombée qui courait le long de sa queue. Il a souri et s'est remis à ramper sur moi.

« Dis-moi que tu en as envie. Dis-moi que tu veux que cette bite soit enfouie profondément en toi. »

« Je... je le veux », ai-je chuchoté timidement.

« Tu veux quoi ? » Sa main caressait mon sein droit, et il tirait sur sa bite avec sa main libre.

« Je veux ta bite en moi », ai-je grogné, en tendant à nouveau la main vers son torse.

Il s'est reculé encore, me laissant pousser des supplications torturées. Il a gloussé en sortant un petit sachet de son pantalon. En me regardant, il a ouvert le sachet et a lentement fait rouler le préservatif le long de son érection saillante.

En un instant, il était à nouveau sur moi, le bout de son membre se frottant contre mon entrée glissante.

« Es-tu prête, petite demoiselle ? » a-t-il chuchoté à mon oreille, pressant ses hanches contre les miennes, se glissant presque en moi.

Je me suis mordu la lèvre malgré le plaisir, et me sentant plutôt audacieuse, j'ai murmuré : « Oui. Baise-moi. »

Grognant en entendant ma réponse, il est entré en moi, m'étirant lentement et me remplissant de son énorme bite. J'ai laissé échapper un doux cri, me mordant la lèvre plus fort que jamais, tandis qu'il glissait profondément en moi. Il a chuchoté doucement dans mon oreille. « Ça va ? »

Après un moment d'adaptation à la sensation de son corps, j'ai hoché la tête, me sentant trop faible pour répondre. Il a souri gentiment et a embrassé mes lèvres délicatement, en murmurant. « Je vais commencer doucement. Ça va faire mal au début, mais crois-moi, tu seras en extase une fois que j'aurai fini. »

Je me suis contractée autour de sa queue palpitante. Il gémissait doucement contre mes lèvres.

« Tuli », a-t-il dit dans un souffle, « tu es tellement serrée. »

J'ai convulsé autour de lui à nouveau, devenant encore plus humide à ses mots. Il a laissé échapper un petit cri de plaisir, puis a commencé à bouger.

Il s'est retiré, ce qui m’a torturée, avant de se glisser à nouveau à l'intérieur. Je gémissais en ressentant le mélange de plaisir et de douleur qui traversait mon corps.

Lentement et doucement, il s’est mis à bouger ses hanches d'avant en arrière, sa queue se frottant contre mes parois intimes. Sa bouche est retournée vers mes seins, pour les stimuler et les torturer avec sa langue et ses dents.

Il a soulevé mes jambes en l'air, et les a écartées alors qu'il continuait, d'avant en arrière, à entrer et sortir de moi.

Mes mains se sont posées sur ses épaules, s'accrochant à lui pour me tenir alors qu'il accélérait le rythme, faisant brutalement claquer ses hanches contre les miennes.

Mes muscles ont commencé à se détendre, et des gémissements ont fusé de ma bouche sans retenue alors que la douleur diminuait et que le plaisir prenait le dessus.

Sa bouche est revenue à la rencontre de la mienne, étouffant les sons que j'émettais alors qu'il m'embrassait intensément, sa langue jouant sensuellement avec la mienne alors que ses poussées devenaient plus rapides et plus profondes.

Mes ongles griffaient ses épaules alors que la tension montait en moi. Je répondais à son baiser avec passion tandis que mes hanches se cambraient pour rejoindre les siennes à chaque fois, le forçant à s'enfoncer plus profondément.

Mes jambes se sont enroulées autour de ses hanches par réflexe, l’obligeant à pousser plus fort et plus profond. Il a gémi contre mes lèvres avant de se retirer, me laissant à bout de souffle et gémissante, contrainte de retenir ma protestation.

Il m’a souri de manière suggestive et a placé un doigt contre mes lèvres alors que son rythme ralentissait. « Je veux te regarder. Je veux voir chaque détail de ta réaction à la sensation de moi en toi. »

Il s'est retiré à nouveau, me laissant souffrir et gémir, puis il a rapidement enfoncé sa bite dans ma chatte, me baisant avec force et rapidité. J'ai crié à cause de son intrusion soudaine.

C'était intense et pourtant incroyable, et je ne pouvais pas faire taire mes cris de plaisir. Soudain, sa main a saisi mon sexe, son pouce et son index ont frotté et stimulé mon clitoris.

J'ai gémi et geint, me tortillant sous lui tandis que je me serrais à nouveau autour de sa queue.

Il a grogné, a accéléré le rythme, s'enfonçant de plus en plus profondément en moi, tandis que son gland frottait contre mon utérus.

Même avec son préservatif, c'était comme si je le sentais directement. Je me sentais engourdie de partout ailleurs, et pourtant mon corps était en feu, rempli d'adrénaline et de plaisir.

Il me soulevait de plus en plus haut à chaque poussée, me faisant gémir et geindre pour en avoir plus.

Puis soudain, je suis arrivée au bord du gouffre, et je me suis soulevée du lit en hurlant et en jouissant autour de lui.

Des vagues de plaisir me traversaient alors que je me contractais autour de lui, l'entraînant avec moi alors qu'il était saisi par son propre orgasme dans un gémissement rauque, et qu’il déversait sa semence profondément en moi.

Il s'est laissé aller, son corps reposant lourdement sur le mien alors que nous étions à bout de souffle, et cherchions de l'air.

Quelques instants plus tard, il était debout, se retirant de moi, et il me laissait cruellement vide et endolorie. Il m'a souri en retirant le préservatif et en le jetant à la poubelle.

Je l'ai regardé, luttant pour garder les yeux ouverts alors qu'il revenait vers moi. Il s'est penché et a embrassé mes lèvres pudiquement, puis il a remonté les couvertures du lit sur mon corps nu.

Malgré mon épuisement, je me suis redressée pour protester. « Non, je ne peux pas dormir dans le lit d'un inconnu ! Et il y a une fête en bas ! »

Il a gloussé et a embrassé mon front. « Dors, c'est tout. Je suis presque certain d'avoir épuisé toute ton énergie. Tu vas dormir sans problème. »

À ses mots, je me suis soudain sentie épuisée. Malgré le bruit en bas, un désir ardent de dormir m'a envahie.

Trop fatiguée pour protester, je me suis allongée à nouveau dans le lit et je l'ai laissé me couvrir avec les couvertures. Il s'est assis à côté de moi jusqu'à ce que je tombe dans un profond sommeil.