La Bibliothécaire

Elle secoua la tête. « Je n’arrive pas à réfléchir. »

Damian lui suçait le téton pendant que ses doigts taquinaient l’autre. Des frissons de désir passèrent de ses tétons à sa chatte, et elle sentit que sa culotte était trempée.

« Vous êtes si sexy », marmonna-t-il contre ses seins. « J’ai envie de vous, putain. »

Damian se mit à genoux sur le sol et embrassa l’intérieur de son genou, à l’endroit où se trouvait l’ourlet de sa jupe. Il remonta le tissu et embrassa ses cuisses, puis il saisit son mollet et positionna sa jambe sur son épaule.

Il continua à remonter les lèvres le long de ses cuisses, faisant glisser le tissu jusqu’à ce qu’il arrive à hauteur de ses hanches.

Impatient, il passa un doigt sous sa culotte et l’écarta, et il utilisa ce moment pour faire basculer ses hanches vers sa langue. Il la goûta, savourant son désir.

Monique gémissait dans son poing, tandis que son autre main agrippait désormais les cheveux de Damian, tout en pressant sa chatte douce et humide contre sa bouche. « S’il vous plaît », gémit-elle. « J’ai besoin de plus que ça. »

Damian gémit, sa bouche suçait le clitoris de Monique, et les vibrations de sa gorge lui arrachèrent un nouveau gémissement. Il enfonça deux doigts en elle, puis il bougea dans sa chatte tout en continuant à s’occuper de son clitoris.

Il n’en fallut pas plus pour que la respiration frénétique de Monique s’arrête complètement. Le poing dans sa bouche bloquait ses gémissements, mais Damian sentait qu’elle lui tirait les cheveux pendant qu’elle se laissait emporter par l’orgasme causé par sa langue.

Après un dernier mouvement, Damian embrassa l’intérieur du mollet de Monique et se releva. Il lui retira son poing tremblant de sa bouche et l’embrassa sur les lèvres, en poussant sa langue vers l’avant et devenant encore plus dur, si c’était possible, à l’idée qu’elle découvre son goût sur sa langue.

« Vous avez un goût délicieux, Madame M », dit-il rudement, en saisissant son menton et en maintenant ses lèvres écartées.

« Je veux vous goûter aussi », répondit-elle, sans jamais rompre le contact visuel.

Une fois de plus, Damian sourit et resserra sa prise sur son menton en l’accompagnant vers le bas. Il n’en fallut pas plus pour qu’elle s’agenouille volontairement. Elle regarda la bosse sur l’avant de son pantalon et elle regarda, les yeux écarquillés, pendant que Damian ouvrait son pantalon et sortait sa queue.

Monique se mordit la lèvre et se pencha en avant pour lui lécher le bout pendant qu’il se caressait. Il y avait toujours quelque chose d’érotique à regarder un homme se toucher.

Peut-être était-ce la façon dont leur érection palpitait vers sa bouche, ou peut-être était-ce le fait de les voir posséder leur propre corps exactement comme ils le voulaient. Dans tous les cas, c’était sexy, mais elle repoussa sa main pour prendre le relais.

Elle fit tournoyer sa langue autour de son bout, en utilisant une main pour le caresser, comme il l’avait fait, tandis que son autre main attrapait ses couilles. À chaque mouvement de tête, elle approfondissait sa succion, remplissant de plus en plus sa bouche jusqu’à manquer de s’étouffer.

Damian grogna, il rassembla ses cheveux entre ses mains et poussa inconsciemment ses hanches plus loin. Sa bouche brûlante le prenait tout entier, et lorsqu’il la sentit retirer la main qui massait ses couilles pour jouer avec son propre clitoris, il s’enfonça encore plus profondément, atteignant le fond de sa gorge.

Ils n’étaient pas aussi silencieux qu’ils devraient l’être, mais il n’y avait personne à proximité. Heureusement, car Damian ne parvint pas à retenir le gémissement qui sortit de sa bouche lorsqu’il regarda Monique.

Ses lèvres pulpeuses montaient et descendaient le long de sa queue, ses seins lourds se balançaient en rythme avec le mouvement tandis qu’elle faisait rouler ses hanches contre ses doigts.

Damian lui tira les cheveux et les lèvres de Monique se détachèrent de sa queue. Elle sursauta. « Quelle bouche ! »

Damian avait à peine terminé de parler que Monique se baissa à nouveau et commença à lui sucer les couilles. Sa langue alla aussi loin que possible pour lui lécher les couilles avant de remonter le long de son membre, puis elle tourna autour de son bout.

Damian avait du mal à se retenir. Il la guida vers le haut, puis il passa ses bras sous ses jambes et la souleva à nouveau contre l’étagère. Des livres tombèrent et, d’un geste rapide des doigts, il arracha la culotte de la jeune fille et il s’enfonça profondément dans sa chatte terriblement chaude.

Monique cria, et il la fit taire avec sa bouche. Il l’embrassait en la prenant avec force. À chaque coup poussé en elle, il étouffait un gémissement de sa part.

D’une manière ou d’une autre, à travers l’euphorie de leur baise animale, il entendit des pas se diriger vers eux. Sans s’arrêter, il pencha leurs deux corps plus loin dans l’obscurité et il ralentit ses mouvements.

Monique réalisa alors que quelqu’un se trouvait à proximité et elle essaya de descendre de leur position compromettante alors qu’elle se trouvait les seins visibles et la chatte luisante à cause de la queue de cet homme qui la possédait délicieusement.

« Lâchez-moi. » Elle couina quand il refusa de coopérer.

Damian lui mordit le lobe de l’oreille et il s’enfonça profondément en elle, encore et encore, avec une lenteur douloureuse. « Je croyais que vous aimiez le risque de vous faire prendre, Madame M », murmura-t-il avec un sourire diabolique en faisant pivoter ses hanches.

« Imaginez que cette personne chanceuse entre dans cette allée et voit votre jolie chatte exposée. » Coup. « Qu’on voit notre bibliothécaire innocente et calme se faire baiser comme une petite salope. » ~Coup.~

« Est-ce qu’on voit votre jus couler sur ma queue ? » Coup. « Est-ce que cette personne serait aussi excitée que moi rien qu’en pensant à votre allure en ce moment ? » ~Coup.~

Les bruits de pas se firent de plus en plus discrets, jusqu’à disparaître complètement. La voie étant libre, Damian ne pouvait plus se retenir. Il saisit fermement les cuisses de Monique et la baisa comme un sauvage. Ils utilisaient tous les deux la bouche de l’autre pour étouffer leurs gémissements de plaisir.

Damian la poussa contre l’étagère et lui donna une claque sur la fesse. La gifle fit craquer Monique, qui jouit si fort qu’elle ne put pas s’empêcher de mordre la lèvre de Damian.

Damian allait craquer. La chatte de Monique le serrait de plus en plus et il lui lança un avertissement : « Je vais jouir, putain ! Mets-toi à genoux ! »

Damian relâcha ses jambes et Monique tomba au sol, la bouche grande ouverte. Damian soufflait fortement en caressant sa queue une fois, deux fois, trois fois, puis il gicla dans la bouche de Monique. Il pencha la tête en arrière et d’autres gouttes de sperme jaillirent, certaines atterrissant sur les seins nus de Monique et sur le bord de ses lèvres.

Avec un gémissement, il recula jusqu’à l’étagère étrangement solide et la regarda avaler sa semence, puis lécher le sperme qui avait atterri autour de ses lèvres, avant de frotter les gouttes sur ses magnifiques seins autour de ses tétons.

« Je vous l’ai déjà dit et je vous le répète : vous êtes terriblement sexy, Madame M. » Damian souriait, encore essoufflé à cause de la force avec laquelle il avait joui.

Monique gloussa, se sentant soudain un peu gênée. « Je ne connais toujours pas votre prénom... »

« Damian. » Il rit.

Monique se leva lentement, elle reboutonna son chemisier, mais laissa un bouton de plus détaché, ce qui mettait en valeur son décolleté. « Ah oui, je me souviens de vous, Damian. Vous avez quelques livres en retard. »

Damian savait que c’était un mensonge. Il se rendait souvent à la bibliothèque en espérant la voir derrière le bureau. Ramener régulièrement des livres était sa meilleure excuse pour continuer à revenir la voir.

« Oh, j’en suis vraiment désolé Madame M. Vous pouvez venir chez moi et vous assurer que vous trouvez tout ce qu’il vous faut… »

Monique se lécha à nouveau les lèvres. « Je crois que c’est ce que je vais faire, Damian. »

Fin